La lutte à la COVID-19 a permis à Nathalie Grandvaux d’avoir enfin le virus.
En effet, grâce à une subvention d’un demi-million de dollars, son laboratoire du CHUM a acquis l’équipement adéquat pour manipuler in vitro le SRASCov2, le nom scientifique du virus responsable de la COVID-19.
«C’est très important, pour mon équipe, de pouvoir manipuler ce pathogène afin de mieux le comprendre», explique la chercheuse d’origine française, qui étudie depuis plus de 15 ans les infections pulmonaires causées par des virus.